Pour son exposition automnale, la galerie Les Montparnos est très heureuse de vous présenter l’œuvre du peintre :
Samuel Erard
Le ciel intérieur
09 octobre - 06 novembre 2025
Vernissage le jeudi 9 octobre à partir de 18h30.
Le peintre Samuel Erard. Crédit Photo : Vincent Pichelin
Samuel Erard est né à Verdun en 1971. En remontant le cours de son enfance, le peintre se souvient que la pratique du dessin a toujours été présente. Au lycée, tombé sur quelques livres d’art, il découvre les œuvres de Rembrandt, de Vermeer et Corot qui confirment sa vocation. Il entre aux Beaux-arts de Dijon et poursuit sa formation aux Beaux-arts de Budapest. Aujourd’hui, Samuel Erard vit et travaille à Saint-Martin-du-Mont en Côte-d’Or.
Zographos 1, 2022, huile sur toile, 120 x 116 cm.
Samuel Erard est peintre de paysages. Il saisit sur le motif quelques études des vallons qui l’entourent, une nature entre ciel et terre. De retour dans l’atelier, les tableaux prennent forme lentement. Dans le rituel du travail, la musique accompagne ces heures vouées à la patience. Les peintures de Samuel Erard sont des lieux où se fondent quête du réel et paysage intérieur. En digne héritier des Maîtres du Nord, le peintre affectionne les paysages d’hiver.
Frémissements, 2025, huile sur toile, 72 x 104 cm.
Face à ses œuvres en clairs-obscurs, l’on scrute l’arrivée imminente des premières lueurs du jour. Une aurore de jaunes et de roses perce les ombres. La matière est retenue, les couleurs sont sobres. Venant de derrière l’horizon, éclot au regard une lumière profonde et pénétrante. Cette lumière, comme passée au tamis, apparaît et caresse le paysage qui se dévoile alors. Dans la courbe des plaines, le contraste des blancs, des gris, des mauves, des verts et des ocres révèle l’instant fragile du tableau.
Fleur, 2020, pastel sec, 15 x 17 cm.
Face à ses œuvres en clairs-obscurs, l’on scrute l’arrivée imminente des premières lueurs du jour. Une aurore de jaunes et de roses perce les ombres. La matière est retenue, les couleurs sont sobres. Venant de derrière l’horizon, éclot au regard une lumière profonde et pénétrante. Cette lumière, comme passée au tamis, apparaît et caresse le paysage qui se dévoile alors.
La disparition, 2021, huile sur toile, 78 x 58 cm.
Dans la courbe des plaines, le contraste des blancs, des gris, des mauves, des verts et des ocres révèle l’instant fragile du tableau.
Duo, 2020, huile sur toile, 40 x 40 cm.
Baulme La Roche, 2025, huile sur toile, 59 x 88 cm.
Zographos, 2021, huile sur toile, 51 x51 cm.