Joyeuses fêtes !

Publié le par LE BAL Mathyeu

Montparnasse, quand Paris éclairait le monde, éditions Albin Michel

Montparnasse, quand Paris éclairait le monde, éditions Albin Michel

Chers amis,

La galerie vous souhaite de belles fêtes de fin d'année.

Rendez-vous à partir du 16 janvier avec la prolongation de l'exposition Montparnasse, les boulevards du destin et la découverte de nouvelles oeuvres.

A l'art vivant !

Bien chaleureusement, 

Mathyeu Le Bal

Jeanine Warnod & Mathyeu Le Bal. Crédit : Thierry Becouarn

Jeanine Warnod & Mathyeu Le Bal. Crédit : Thierry Becouarn

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Montparnasse rendez-vous !

Publié le par LE BAL Mathyeu

Chers amis, 

Avant que "Montparnasse" ne rentre chez lui en Bretagne en cette approche de Noël, j'ai le plaisir de vous faire part de deux moments de rencontres & signatures autour du livre :

  • Le vendredi 2 décembre de 17h à 18h à la Librairie Artcurial (7 rdpt des Champs-Elysées, Paris 8e) : 

Librairie Artcurial

  • Le dimanche 4 décembre à 15h chez ma consoeur et bretonnement compatriote Françoise Livinec dans sa galerie (24/30 rue de Penthievre, Paris 8e) pour une conférence et signature dans le cadre de l'exposition consacrée à Marie Vassilieff : 

Galerie Françoise Livinec

Avec le bonheur de vous y retrouver,

à l'Art Vivant !

Mathyeu Le Bal

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Montparnasse, quand Paris éclairait le monde

Publié le par LE BAL Mathyeu

Mathyeu Le Bal - Montparnasse, quand Paris éclairait le monde - Albin Michel

Mathyeu Le Bal - Montparnasse, quand Paris éclairait le monde - Albin Michel

Chers Amis,

C'est avec émotion et grande joie que je vous informe de la parution de mon livre :

Montparnasse

Quand Paris éclairait le monde

Aux éditions Albin Michel - Beaux livres

Préface de Jeanine Warnod

Pour sa sortie, j'ai l'honneur de vous convier à une signature à la galerie Les Montparnos :

Le mercredi 16 novembre à partir de 18h30 ;

ainsi que le samedi 19 novembre de 14h à 18h.

Et pour la galerie de Bretagne (13 rue du Frout - Quimper), à l'occasion de ses 30 ans :

Le samedi 17 décembre de 14h à 18h.

A l'Art Vivant !

Mathyeu Le Bal

Parution Montparnasse - Invitation

Parution Montparnasse - Invitation

Montparnasse, quand Paris éclairait le monde

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François Gall ( 1912 Kolozsvàr - 1987 Paris )

Publié le par LE BAL Mathyeu

François Gall et sa femme Eugénie

François Gall et sa femme Eugénie

Dans le cadre de l'exposition

Montparnasse, les boulevards du destin 

Lumière sur :

François GALL

( 1912 Kolozsvàr - 1987 Paris )

Peintre, sculpteur, céramiste.

Formé à l’Ecole Nagybànya de Transylvanie, (Barbizon hongroise), le jeune Gàll Ferenc réalisera plus tard ses deux paris : Paris et la Liberté. Un parcours difficile dès l’âge de 17 ans, quarante sous en poche, jardinier, manœuvre, sonneur de cloches, il s’inscrit à la Royale Académie des Beaux-Arts de Rome, atelier Coromaldi. En 1932 Prix Hunyadi-Aldobrandini, il entre au Collegium Hungaricum équivalent de la Villa Médicis et voyage en Europe. Sa ville natale lui organise sa première exposition prolongée à Rome, Galerie Moderna avec des sujets sociaux, scènes de rues, cirques, villages, jeux d’enfants.

Ballerines, 1965, pastel, 63 x 46 cm.

Ballerines, 1965, pastel, 63 x 46 cm.

Déjà fameux pour ses bustes et portraits, les commandes affluent, jusqu’à Paris où il réalise dès 1936 ceux de Friez, Segonzac, Kisling, plus tard Durand-Ruel, Piaf, France Gall, Goetschel, Maurice Chevalier, Roland Dorgelés... Ses professeurs des Beaux-Arts, Devambez et Guérin, l’encouragent à participer aux divers salons. Au fil du temps il y est honoré de Médailles Or et Argent, et d’achats de l’Etat. Ses expositions personnelles, notamment chez Durand-Ruel, A.Weil, Bernheim, W.Findlay, ainsi qu’à l’étranger, sont relatées dans les journaux.

Eugénie au bouquet, huile, 1958, 56 x 45 cm.

Eugénie au bouquet, huile, 1958, 56 x 45 cm.

Après les scènes de guerre, l’Exode, les pauvres gens, chanteurs de rue ou grévistes, ses thèmes évoluent. Le bonheur de la vie de famille avec la jeune poétesse Quercynoise Eugénie et leurs trois enfants lui inspire des sujets intimistes, nus, toilette, maternités, danse, piano, coiffeuse, bouquets champêtres. De Montmartre à Montparnasse jusqu’au Quercy et bords de mer, il peint au chevalet, sur le motif, l’animation des ponts, quais, rues, parcs et jardins, monuments, brasseries, champs de course, ou de noyers, châtaigniers, ports et plages.

 

Lecture du journal à la Rotonde, 1964, huile, 27 x 22 cm.

Lecture du journal à la Rotonde, 1964, huile, 27 x 22 cm.

Soucieux de justice et d’équité, François Gall s’est investi en diverses causes humanitaires et dans la défense du droit des artistes, CAVAR, administrateur de l’ADAGP et Taylor, président du Syndicat national des artistes peintres, graveurs, Commandeur du Dévouement Social, Croix du Combattant de l’Europe etc… il décède lors d’une commission d’artistes du ministère de la Culture.

Autoportrait, 1953, huile, 46 x 27 cm.

Autoportrait, 1953, huile, 46 x 27 cm.

François Gall

François Gall

Crédit photographique Philippe Fagot.

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Invitation vernissage Montparnasse

Publié le par LE BAL Mathyeu

Rendez-vous le jeudi 13 octobre à partir de 18h30 à la galerie. Vernissage en présence des familles des artistes.

Rendez-vous le jeudi 13 octobre à partir de 18h30 à la galerie. Vernissage en présence des familles des artistes.

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Montparnasse, les boulevards du destin

Publié le par LE BAL Mathyeu

Exposition

Montparnasse, les boulevards du destin

Les sept chevaliers :

Le Scouëzec, Clergé, Seifert, Weissberg, Zarfin Lubitch, Gall

du 13 octobre au 22 décembre 2022

Maurice Le Scouëzec (Le Mans 1881 - Douarnenez 1881)

Maurice Le Scouëzec (Le Mans 1881 - Douarnenez 1881)

Maurice Le Scouëzec (Le Mans 1881 – Douarnenez 1940) est le breton de la bande des Montparnos. Il a fait trois fois le tour du monde sur les grands voiliers. Blessé durant la Grande Guerre, Le Scouëzec arrive à Montparnasse en 1917 où il va peindre avec réalisme et âpreté l’âme du carrefour Vavin. Il deviendra l’ami de Modigliani, de Clergé et d’Ortiz de Zarate. Peintre de l’Afrique, il fera quatre voyages dans les anciennes colonies françaises, en quête de l’absolu tant désiré dans sa peinture, avant de revenir en Bretagne.

Auguste Clergé (Troyes 1891 – Paris 1963)

Auguste Clergé (Troyes 1891 – Paris 1963)

Auguste Clergé (Troyes 1891 – Paris 1963) est le fils d’un taxidermiste. Pour échapper à son père, il entre dans un cirque et devient trapéziste. À Montparnasse, il est une personnalité incontournable, animateur et organisateur des « expositions dans les cafés ». Une œuvre autour de la peinture, du cirque, du théâtre. À la fin de sa vie il devient le peintre de la banlieue et trouve un atelier Porte des Lilas. Pour tous il deviendra le chevalier de la Zone.

David Seifert (Wolanka 1896 – Meudon 1980) et son fils Anatole

David Seifert (Wolanka 1896 – Meudon 1980) et son fils Anatole

David Seifert (Wolanka 1896 – Meudon 1980) est issu d’une famille juive de Galicie, (Empire d’Autriche, aujourd’hui en Pologne). Il arrive à Montparnasse avec sa femme Anna. Le couple va endurer la misère jusqu’à la perte d’un enfant. Puis, ils auront un autre fils Anatole né en 1927, date où Seifert peindra une des colonnes de la brasserie la Coupole. Malgré les profondes difficultés économiques rencontrées, sa peinture demeure un lieu préservé, loin des noirceurs du quotidien, elle est l’expression de la joie par la couleur et montre avec tendresse l’intimité des scènes de famille et paysages heureux.

Ossip Lubitch (Grodno 1896 – Paris 1990)

Ossip Lubitch (Grodno 1896 – Paris 1990)

Ossip Lubitch (Grodno 1896 – Paris 1990) est originaire de Grodno en Biélorussie (alors intégrée dans l’Empire Russe). Après ses études à Odessa, il passe par Berlin en 1919. En 1923, il s'installe à Paris, à Montparnasse où il rentre en contact avec des peintres, sculpteurs et musiciens du monde entier. On retrouve dans l'expression artistique de Lubitch les influences culturelles de son pays d'origine, du Berlin des années 20, des grands maîtres (Rembrandt, Daumier, Degas, Goya). Peintre d’une grande réserve et sensibilité, son œuvre aux couleurs tenues et silencieuses traite des sujets les plus simples (scènes d’atelier, portraits, toits de Paris, paysages du Sud, natures mortes). Le peintre Georges Rouault lui fait l'honneur d'un poème préfaçant "le cirque", un ensemble de dix eaux-fortes et aquatintes.

Léon Weissberg (Przeworsk 1895 – Majdanek 1943)

Léon Weissberg (Przeworsk 1895 – Majdanek 1943)

Léon Weissberg (Przeworsk- 1895 -Majdanek 1943est né comme Seifert en Galicie. Il se forme aux Beaux-Arts de Vienne et aux Arts appliqués d'Oskar Kokoschka, puis à Munich à l'Académie de Peinture. Il se rend ensuite à Berlin à la rencontre des courants modernes expressionnistes, postcubistes et postimpressionnistes. Il arrive à Montparnasse en 1923 et se rend directement à la brasserie la Rotonde. Membre du Groupe des Quatre (Menkès, Aberdam, Weingart & Weissberg), il fait partie des grandes personnalités artistiques de cet entre-deux-guerres. Ses œuvres puissantes et lumineuses témoignent de sa profonde intériorité. Il sera assassiné à l’âge de 48 ans dans le camp de Majdanek, il laisse aujourd'hui une œuvre rare et inoubliable.

Schraga Zarfin (Smilovitchi, Biélorussie 1899 – Rosny-Sous-Bois 1975)

Schraga Zarfin (Smilovitchi, Biélorussie 1899 – Rosny-Sous-Bois 1975)

Schraga Zarfin (Smilovitchi, Biélorussie 1899 – Rosny-Sous-Bois 1975) est né dans la même petite ville que le peintre Soutine, qui sera son ami d’enfance et le restera jusqu’à la fin. Avant son arrivée à Paris, capitale mondiale des arts, il fait sa formation à Vilnus, puis Jérusalem et Berlin dans l’atelier du peintre Max Liebermann. Influencé par l’expressionnisme allemand, il s’en libère pour une œuvre absolument unique, en clair-obscur. Fasciné par la minéralité des édifices religieux, la lumière et les couleurs des vitraux. Par les paysages empreints de sacré, son œuvre se caractérise par une originalité pleine de mystère et de merveilleux.

François Gall (Kolozsvàr, Hongrie 1912 – Paris 1987)

François Gall (Kolozsvàr, Hongrie 1912 – Paris 1987)

François Gall (Kolozsvàr, Hongrie 1912 – Paris 1987) quitte à 17 ans la Transylvanie pour étudier à Rome, puis en 1936 aux Beaux-Arts de Paris avec quelques sous en poche. Dès 1950, il délaisse les sujets sociaux et de guerre, tout en s'engageant sur le chemin de la défense des artistes, pour celui de la paix, du bonheur familial, l'animation de Montmartre à Montparnasse, scènes quotidiennes de rues, jardins publics, cafés, ballerines, maternités, nus. Il est également célèbre pour ses bustes et portraits tels Othon-Friesz, Dunoyer de Segonzac, Kisling, et plus tard Durand Ruel, Piaf, France Gall, Maurice Chevalier, Roland Dorgelés... Ses professeurs aux Beaux-Arts, Devambez et Guérin, l’encouragent à participer aux divers salons. Artiste d’une belle matière, à la fois peintre et sculpteur, il demeure comme l’une des figures marquantes de cette époque unique.

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Grande exposition de rentrée en préparation

Publié le par LE BAL Mathyeu

Le Scouëzec, Clergé, Seifert, Lubitch, Weissberg, Zarfin, Gall

Le Scouëzec, Clergé, Seifert, Lubitch, Weissberg, Zarfin, Gall

Le Scouëzec, Clergé, Seifert, Lubitch, Weissberg, Zarfin, Gall

Le Scouëzec, Clergé, Seifert, Lubitch, Weissberg, Zarfin, Gall

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Assunta Genovesio : catalogue en ligne

Publié le par LE BAL Mathyeu

Très peu d'artistes ont peint le Nord. Hors de Paris, nombreux se sont penchés sur les lumières du Sud ou le caractère de la Bretagne. L'exposition consacrée à Assunta Genovesio est un véritable hommage aux couleurs et à l'âme du Nord. Ses monotypes reflètent avec authenticité et secret toute la chaleur et l'esprit des lieux. De Roubaix à Dunkerque, en passant par les bords de mer de Gravelines, des fortifications aux briques... Il reste deux semaines pour venir découvrir l'exposition consacrée à Assunta Genovesio, Les marges du réel. Avec joie de vous accueillir avant le départ pour la saison estivale Bretonne. A l'Art Vivant !

Assunta Genovesio : catalogue en ligne

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Invitation vernissage

Publié le par LE BAL Mathyeu

Rendez-vous jeudi 12 mai pour le vernissage où nous serons heureux de vous accueillir pour ce bel événement d'avant l'été. En présence de l'artiste, nous partagerons ensemble bons verres et regards autour de cette œuvre gravée puissante, profonde et intime.

Rendez-vous jeudi 12 mai pour le vernissage où nous serons heureux de vous accueillir pour ce bel événement d'avant l'été. En présence de l'artiste, nous partagerons ensemble bons verres et regards autour de cette œuvre gravée puissante, profonde et intime.

"Cela s'est passé. Je sais aujourd'hui saluer la beauté."

Sensation, Arthur Rimbaud

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Assunta Genovesio, Monotypes : Les marges du réel

Publié le par LE BAL Mathyeu

Assunta Genovesio

Assunta Genovesio

Exposition

Assunta Genovesio

Monotypes : Les marges du réel

12 mai - 25 juin 2022

Promenade aux remparts I, monotype 100 x 57cm

Promenade aux remparts I, monotype 100 x 57cm

Du bord, en longeant le fleuve on observe une barque rouge. Ce fleuve, serpentant en méandres, est profond, il s’écoule lentement. De la rive, on suit cette trace rouge qui pointe l’amont. Ardent est le silence de la peinture, sourd à l’illusoire et voyant de la parole murmurée. Quand tout hésite à dire, les couleurs donnent à entendre les remous du temps. Être l’auditeur des tonalités patientes.

Femme allongée, 2020, monotype, 39 x 40 cm

Femme allongée, 2020, monotype, 39 x 40 cm

Des brumes aux mirages, des vapeurs sombres aux ombres de clarté, le regard tente de rosir les nuages, de défaire la facilité du criard. Le bleu troue le gris. C’est une impression, une estampe irremplaçable, pas un multiple. Serait-ce un paysage, une nature luxuriante ou une nature morte ? Et là, posé sur cette table, un squelette d’animal est abandonné par la chair. Ou ici, dans cet atelier, un nu de femme frissonne, attend.

La soif I, 2019, monotype, impression en bleu, 53 x 58 cm

La soif I, 2019, monotype, impression en bleu, 53 x 58 cm

Les fumées des usines immobiles couvrent le ciel d’un quotidien charbonneux. Et cette rue bordée de maisons, n’y a t-il plus personne ? Paysages, natures mortes et personnages sont traversés par les lumières sourdes et tenues du nord que réchauffent des roses, des orangés et des rouges. Vivants et muets des tapages. Ici, tout est question d’un en-retrait. Pour voir, n’est-ce pas ? Être là, sans y être, s’effacer. Se tenir, perplexe, sur la bordure de la création. L’effacement au profit d’une apparition, un trompe-l’œil ?

Buttes-Chaumont III, 2019, monotype (fantôme), 58 x 53 cm

Buttes-Chaumont III, 2019, monotype (fantôme), 58 x 53 cm

Les monotypes d’Assunta Genovesio. Œuvre unique suivie de quelques fantômes. On touche au monde de la gravure et pourtant… N’intervenant pas directement sur le papier, la peintre y marque sa douce détermination. Elle applique les encres sur une plaque, puis celle-ci sera passée sous presse, le résultat alors obtenu révèle tout le mystère et l’imprévu. S’agirait-il de deviner ce qui se cache sous les eaux du fleuve ? Sur l’onde, percevoir le ciel reflété dans un clapot de bleu et de lumière.

Petit Fort Philippe III, 2018, monotype, 39 x 38 cm

Petit Fort Philippe III, 2018, monotype, 39 x 38 cm

Qui décide du résultat ? La peintre ? L’œuvre ? Le sujet ? Ces « couleurs en un certain ordre assemblées » ? Les encres restées sur la plaque vont permettre ensuite d’autres impressions, plus faibles en intensité : les fantômes. La présence est là, effleurée, l’éclat premier s’estompe, les traits se délient, reste l’esprit visible de l’œuvre, une trace de ce que l’on croit voir… C’est l’ultime souvenir des couleurs sur le papier avant l’évanouissement.

Coquillages et bol, 2020, monotype, 24,8 x 29,5 cm

Coquillages et bol, 2020, monotype, 24,8 x 29,5 cm

Aller à la première plaque, celle du sensible. Où se trouve l’origine de l’image ? Dans la première impression ou dans le dernier fantôme ? Au bord du réel, la peintre nous engage à remonter le fleuve des couleurs et arpenter cette rive du voir.

Jura, 2020, monotype, 24,8 x 29,8 cm

Jura, 2020, monotype, 24,8 x 29,8 cm

Après une première exposition en 2018, la galerie Les Montparnos est très heureuse de vous inviter à découvrir les monotypes d’Assunta Genovesio. Une exposition remarquable de ses gravures uniques du 12 mai au 25 juin 2022.

D’obscurité et de lumière … le Silence.

À l’Art Vivant !

Mathyeu Le Bal

 

Rue de Dunkerque, 2020, monotype, 39 x 35,5 cm

Rue de Dunkerque, 2020, monotype, 39 x 35,5 cm

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