Maurice Le Scouëzec (1881-1940)

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Maurice Le Scouëzec (1881-1940) Autoportrait en tirailleur algérien, 1918, huile, 65 x 48 cm

Maurice Le Scouëzec (1881-1940) Autoportrait en tirailleur algérien, 1918, huile, 65 x 48 cm

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Les Montparnos réunis vous souhaitent de belles fêtes de fin d'année !

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Alexandre Pineau (1893 - 1970) Le vélodrome des tordus, 1950, huile sur toile, 33 x 41 cm

Alexandre Pineau (1893 - 1970) Le vélodrome des tordus, 1950, huile sur toile, 33 x 41 cm

Rendez-vous à partir du 15 janvier pour la prolongation de l'exposition "Le Monde rêvé d'Alexandre Pineau" jusqu'au 14 février.

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Catalogue de l'exposition "Le monde rêvé d'Alexandre Pineau" en ligne

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Catalogue de l'exposition "Le monde rêvé d'Alexandre Pineau" en ligne

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Christian Caillard (1899-1985) - invitation vernissage

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Rendez-vous le jeudi 02 décembre à la galerie de Bretagne pour le vernissage de l'exposition de Noël

Rendez-vous le jeudi 02 décembre à la galerie de Bretagne pour le vernissage de l'exposition de Noël

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Christian Caillard (1899-1985) à la Galerie de Bretagne

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Christian Caillard (1899-1985) à la Galerie de Bretagne

L'exposition Le Monde Rêvé d'Alexandre Pineau bat son plein chez Les Montparnos à Paris. Plus à l'Ouest, direction Quimper, un événement majeur se prépare mettant en lumière l'un des membres du groupe de "la Réalité Poétique". La galerie de Bretagne à Quimper est heureuse de vous inviter au vernissage de sa grande exposition de Noël :

Christian Caillard (1899-1985)

Réalité Poétique

Vernissage à la galerie de Bretagne - Espace Gradlon

le jeudi 02 décembre 2021 à partir de 17h.

Exposition du 02 décembre au 24 février 2022.

Christian Caillard (1899-1985) à la Galerie de Bretagne

Ils étaient 8.

Avant la guerre 1939-45, ils avaient étudié ensemble et se firent connaître dans les Académies de Montparnasse et les Salons de la capitale. Ils devinrent amis. Le conflit passé, dans ce paysage dévasté, enseveli, d’un monde de l’entre-deux-guerres qui n’existait plus, ils se retrouvèrent et formèrent en 1949, à Paris, le groupe des « Peintres de la Réalité Poétique ». L’abstraction occupait alors tous les esprits et régnait de façon presque tyrannique sur les éboulis d’une figuration qui ne retenait plus l’attention de la mode. Ce groupe pourtant, singulièrement figuratif, ouvrait une autre voie, celle d’une vision d’un bonheur retrouvé aux couleurs revenues. S’inscrivant dans la tradition d’un Pierre Bonnard ou d’un Henri Matisse, ils posèrent une distance nécessaire face à l’agitation d’un monde déboussolé, afin de retrouver le goût du réel et la saveur du temps. Ils partagent alors en commun cette quête des lumières profondes et des soleils qui persistent malgré les hivers. Ils s’efforcent de saisir ce frissonnement de la peinture qu’ils savent si fragile, maniant avec prudence leur propre sensibilité à fleur de toile. Ce groupe sera composé par Maurice Brianchon (1899-1979) ; Jules Cavailles (1901-1977) ; Raymond Legueult (1898-1971) ; Roger Limouse (1894-1989) ; Constantin Terechkovitch (1902-1978) ; André Planson (1898-1981) ; Roland Oudot (1897-1981) et Christian Caillard (1899-1985).

De Paris à Ouessant

Christian Caillard est né à Clichy en région parisienne. Il est le neveu de l’écrivain Henri Barbusse qui l’encourage dans sa future vocation. Lors de sa formation à l’Académie Billoul, il fait la connaissance d’Eugène Dabit, le futur auteur de l’Hôtel du Nord, qui devient son ami. Autre moment déterminant de sa vie, en 1923, Christian Caillard rencontre le peintre Maurice Loutreuil qui sera son maître. Ses débuts seront influencés par l’expressionnisme de Loutreuil. Il s’en dégagera très vite, soucieux de gagner son indépendance. Loutreuil meurt prématurément à l’âge de 39 ans ; il lègue ses toiles à Christian Caillard. C’est dire la confiance et l’estime qui régnait entre les deux hommes.

Christian Caillard va conduire la peinture dans un voyage au long cours. Explorant un monde de matières et de couleurs. Ce sera la découverte du Maroc, puis l’Indochine, Bali, La Martinique, Tahiti, l’Espagne, le Mexique, Madagascar, Ceylan, Bora-Bora, le Népal et bien sûr la Bretagne. Ses couleurs se parent des paysages traversés. Loin d’une vision topographique, il est un chroniqueur de la peinture elle-même, le voyage comme prétexte à son questionnement. Au regard de ses œuvres transparaît la joie, un désir de voir, une envie des saveurs inconnues de l’infini visible.

Une œuvre pensée, entre clarté et douceur. Il acquiert une solide maîtrise technique, le coup de pinceau est sûr et libéré.

En 1935 il trouve son port d’attache parisien dans le 9earrondissement, rue Clauzel. Son atelier est situé tout près de l’illustre boutique du Père Tanguy, le marchand de couleur des Impressionnistes. Il y restera jusqu’à la fin de sa vie. En 1957, il expose avec « les Peintres de la Réalité Poétique ». En 1963, c’est la consécration, Caillard bénéficie d’une rétrospective à la Galerie Durand-Ruel.

Volet Vert, Volet Bleu.

Le peintre découvre l’île d’Ouessant en 1956. Il est subjugué par la beauté de l’île qui deviendra son refuge jusqu’à ses derniers jours. Entre enfermement et ouverture. L’ile va correspondre parfaitement à sa peinture, par ses phénomènes atmosphériques et ses variations de lumières, tout en alternances de violence et de douceur. A l’exemple de ces verts au milieu de bleus affrontant sans cesse les gris. Sa peinture fait corps avec les éléments, d’une agitation à l’autre. Du grain d’un ciel noir se déversant sur le grain de la toile, on traverse le coup de tabac. Sur cette même toile, l’éclaircie surgit tout aussi brutalement.

Mais ce qui fait la force des peintures d’Ouessant de Caillard c’est qu’il peint l’île intérieure et non la mer. Le piège est évité. Face à la beauté ébouriffante des rivages de l’île, la tentation est si forte de vouloir peindre ce choc de l’immense en colère et de la terre. Caillard comprend comme nul avant lui que c’est la création elle-même qu’il a sous les yeux. Il va alors intérioriser ce spectacle. Il ne peint pas la mer, ce si grand motif que même le plus grand des peintres n’auraient pas d’intérêt à défier tant il offre à voir l’absolu. Caillard peint l’intérieur des terres et surtout les maisons ouessantines. Celles-ci deviennent les uniques figures présentes, dressées seules contre les tempêtes. Leurs regards aux volets couleurs de ciels ou d’océans. Il n’y a personne. C’est un monde enclos, protégé par un muret de pierres sèches et une barrière fourbue où résistent quelques bleus éclatants. La présence du phare éclaire la mousse des mauves et le jaune des ajoncs. Des chemins de terres ne mènent nulle part, à moins qu’ils ne cheminent en les ocres de l’intime. Le ciel est bas, entre gris de la mer et bleus des nuages.

Christian Caillard a si bien saisi la Bretagne, jusqu’à son archétype, l’île. Très peu sont parvenus à dompter la puissance d’un tel motif, Caillard l’a fait.

Mathyeu Le Bal

Christian Caillard (1899-1985) à la Galerie de Bretagne

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Invitation Vernissage

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Rendez-vous le jeudi 04 nobembre à la galerie à partir de 18h30.

Rendez-vous le jeudi 04 nobembre à la galerie à partir de 18h30.

Ce que je crois ?
Je crois à ce qui m'émerveille.
 
Federico Fellini
Chers amis de la galerie,
 
C'est le temps des ocres.
 
Et pour fêter la venue de l'automne, la galerie Les Montparnos est heureuse de vous inviter au vernissage de l'exposition sans doute la plus poétique de l'histoire de la galerie. Consacrée à l'une des figures tendres et touchantes du Montparnasse de l'entre-deux-guerres, le peintre Alexandre Pineau.
 
Exposition de près de quarante oeuvres : huiles, aquarelles, pastels et dessins retraçant une vie de peinture. A cette occasion, un beau catalogue de 80 pages a été édité et sera disponible à la galerie.
 
Rendez-vous donc jeudi 04 novembre, en présence de Monsieur Pavie, la famille du peintre, et de toute l'équipe des Montparnos, afin de nous retrouver et partager un moment de joie et de poésie autour d'une oeuvre redonnée à la mémoire...
 
A l'Art Vivant
 
Mathyeu Le Bal

 

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Alexandre Pineau (1893-1970), Le monde rêvé

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Alexandre Pineau (1893-1970), Le monde rêvé

Exposition d'automne

Alexandre Pineau (1893 - 1970)

Le monde rêvé

04 novembre - 22 décembre 2021

Entraînement, année 40, huile sur bois, 27 x 41 cm

Entraînement, année 40, huile sur bois, 27 x 41 cm

Tendre enfance.

Alexandre Pineau est né le 2 juillet 1893, chez ses parents, 49 avenue d’Orléans (auj . Av du Général-Leclerc) dans le XIVe arrondissement de Paris. Son père Alexandre Louis Pineau avait 28 ans, il était typographe. Sa mère Amélie Migeon était âgée de 23 ans, sans profession. Son frère Georges est né 3 ans après au même endroit. Plusieurs photographies attestent du bon niveau de vie de la famille, une enfance qui semble heureuse pour lui et son frère. Alexandre est élève du collège Lavoisier. La famille habite maintenant au 157 rue d’Alésia, toujours dans le XIVe arrondissement.

Baladins et enfants, années 60, huile sur toile, 54 x 81 cm

Baladins et enfants, années 60, huile sur toile, 54 x 81 cm

En 1900, le jeune garçon âgé de sept ans est lauréat du concours de dessin de la ville de Paris, organisé à l’occasion de l’Exposition Universelle. Après avoir obtenu son brevet, il est employé puis représentant de commerce chez un drapier. Parallèlement, il développe ses talents artistiques auprès des peintres Jacques L’Huillier (1867- ?), puis d’Albert Bréauté (1853-1941), avant et après la guerre.

Carrousel dans la neige, années 60, huile sur toile, 50 x 61 cm.

Carrousel dans la neige, années 60, huile sur toile, 50 x 61 cm.

« Les 4 Vents ».

De retour à la vie civile, Pineau rencontre une femme de 23 ans, Antoinette Rose Jeanne Hauüy, sténodactylo. Le couple se marie le 23 octobre 1919 à Clamart et s’y installe, d’abord chez les parents d’Antoinette, puis Villa Elise, avenue du Cimetière. En 1920, ils donnent naissance à une petite fille qu’ils prénomment tout naturellement Elise. Trois ans plus tard, le malheur vient  frapper à leur porte : la petite Elise décède.

Îles Hawaï, années 60, huile sur toile, 65 x 81 cm.

Îles Hawaï, années 60, huile sur toile, 65 x 81 cm.

En 1926, Alexandre fait construire sa propre maison au 22 avenue du Cimetière. Il l’appelle « Les 4 Vents ». La chambre du haut, orientée au nord, possède une vue dégagée sur l’ouest parisien et le Mont Valérien. Cette chambre deviendra son atelier. C’est dans cette maison qu’Antoinette Décède en 1929.

Les V'là ! 1934, huile sur toile, 65 x 50 cm.

Les V'là ! 1934, huile sur toile, 65 x 50 cm.

Pineau se remarie l’année suivante avec Jeanne Laurence Pavie. La perte de sa fille va marquer profondément son œuvre, tant par le choix de ses sujets que dans la technique. Sa peinture devient, toute entière, un hommage au monde de l’enfance, de ses tendresses, ses couleurs et ses joies, le tout habité d’un imaginaire féérique. Les aspects sombres de l’existence sont traités avec douceur, préservant l’espace intérieur de la noirceur des réalités extérieures. Pineau, c’est l’œil de la gentille dérision. Le peintre va alors fréquenter les fortifs, à la rencontre des êtres qui se trouvent en marge de la ville. C’est la découverte du cirque, de ce monde itinérant des gens du voyage. Les clowns l’émerveillent : se voit-il ainsi ? En autoportrait moqueur qui fait sourire les enfants ? Dans les années 30, le peintre s’est grimé plusieurs fois en clown, soit lors de soirées de réveillon, soit lorsqu’il jouait dans un petit théâtre qui s’appelait « Le moulin de Gringoire ». Dans l’univers du cirque cher aux artistes du Montparnasse, ce sont aussi les funambules, ces êtres de l’équilibre poétique, miraculeux au-dessus du vide ou du chaos.

Caravane dans la neige, années 50, huile sur toile, 55 x 46 cm.

Caravane dans la neige, années 50, huile sur toile, 55 x 46 cm.

Montparnasse.

Alexandre Pineau s’affirme comme peintre vers 1925. Retrouvant son quartier d’enfance, il fréquente Montparnasse et ses cafés, point de ralliement des artistes. En 1928, il fait la rencontre d’un homme qui lui ressemble à plus d’un titre : Auguste Clergé. Ils vont sans doute se trouver des points communs par les épreuves traversées, la peinture et bien sûr le cirque, le théâtre et la zone. Avec Clergé et Pineau, un groupe se forme, rejoint par Louis-André Margantin (1900-1965), Adrienne Jouclard  (1882-1972) et Germain Raingo Pelouse (1893-1963) installés tous trois rue Campagne-Première. Dans ce groupe, il y a également André Beloni (1905-1987). Pineau est présent à l’exposition collective de la Brasserie Courbet en 1930. Il s’agissait du 18e Salon organisé par La Compagnie Ambulante des Peintres et Sculpteurs Professionnels qui voyageait de café en café depuis les premières expositions au Parnasse. A cette occasion, la brasserie Courbet réunit autour de Pineau et de Clergé une trentaine de peintres dont : Le Scouëzec, Zingg, Antral, Micao Kono, Balande, Claudot, Neillot, Jauclard, le graveur Lebedeff, le sculpteur Jean Levet et Marevna…

Le Groupe Clergé à la Brasserie Courbet, Compagnie des Peintres et Sculpteurs Professionnels. Avec Alexandre Pineau, Clergé, Le Scouëzec, Zingg, Margantin...

Le Groupe Clergé à la Brasserie Courbet, Compagnie des Peintres et Sculpteurs Professionnels. Avec Alexandre Pineau, Clergé, Le Scouëzec, Zingg, Margantin...

Minor Swing.

Pineau, avec son air manouche, moustache à la Django Reinhardt, se nourrit des échanges avec la communauté des Montparnos. Il expose au Salon des Indépendants, aux Artistes Français, ainsi qu’au Salon des Surindépendants. Sa peinture s’imprègne de la douceur populaire ; il est un coloriste généreux, les tonalités chaudes sont rythmées dans des compositions minutieuses. Il y a du Fellini dans ses scènes de vies. Les enfants en mouvement sont exagérément plus petits par rapport à la taille des adultes qui apparaissent immenses. Son œuvre, par sa fraîcheur et son caractère joyeux, est à rapprocher de celle des « Primitifs Modernes », du Douanier Rousseau ou d’André Bauchant.

Les ordres, années 60, huile sur toile, 46 x 38 cm.

Les ordres, années 60, huile sur toile, 46 x 38 cm.

Ses thèmes de prédilection sont ceux d’une France rêvée, celle des Années 30 et de l’après-guerre : villages, campagnes, balade dans la nature animée, spectacles de rue, campements dans les terrains vagues en bordure de la ville avec ses poussées de barres d’immeubles qui isolent et étouffent. Pineau peint comme un ambulant, c’est une flânerie le long de la route ou en bord de Marne, ce sont les beaux dimanches de congés. Ce sont les courses de chevaux ou de bicyclettes, les animations de kermesses, les chanteuses de rues, les haltérophiles des boulevards… Nostalgie d’une époque ou recoins secrets de la mémoire imaginaire. Et par cette « réalité » transposée, tel un Jacques Tati de la peinture, c’est notre réalité qui se trouve soudain mise en perspective sous nos yeux étonnés et souriants.

Bal à la fontaine Sainte Marie, années 50, aquarelle, 38 x 45 cm.

Bal à la fontaine Sainte Marie, années 50, aquarelle, 38 x 45 cm.

En 1930, le peintre devient sociétaire puis en 1950, secrétaire général adjoint à la Fondation Taylor, créée en 1844 par le Baron Taylor dans le but d’aider et de fédérer les artistes. Il en sera membre jusqu’à la fin de ses jours en 1970. Au cœur du peuple, Alexandre Pineau consacre sa vie à la peinture, en observateur tendre, le regard bienveillant sur le grand manège du monde. Sa peinture marque une délicate distance, se place en retrait des affres sombres de l’existence, tel un refuge dans lequel l’âme de l’enfant serait à jamais préservée.

Le vélodrome des tordus, 1950, huile sur toile, 39 x 41 cm.

Le vélodrome des tordus, 1950, huile sur toile, 39 x 41 cm.

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Dossier de presse

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Pour tout renseignement : Mathyeu Le Bal, contact@galerielesmontparnos.com.

Pour tout renseignement : Mathyeu Le Bal, contact@galerielesmontparnos.com.

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Exposition d'Automne

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Exposition d'Automne
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Pinchus Kremegne (1890-1981)

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Oeuvre expressionniste importante à découvrir de l'un des membres du trio de Vilnius : Soutine, Kremegne & Kikoïne.

Montparnasse & les années héroïques des ateliers de La Ruche.

Pinchus Kremegne (1890-1981) Autoportrait vers 1920-22. Huile sur toile signée en bas à gauche. 55 x 38 cm. Ancienne collection Eugénie et François Gall

Pinchus Kremegne (1890-1981) Autoportrait vers 1920-22. Huile sur toile signée en bas à gauche. 55 x 38 cm. Ancienne collection Eugénie et François Gall

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